vendredi 26 mars 2010

Camarinas - Portosin - Bayona: en route vers le Portugal

Entre l'orage qui a décidé d'éclater toute la nuit juste au-dessus de nos têtes et le petit Léo qui n'avait pas spécialement envie de dormir, la nuit fut longue à Bayona pour l'équipage de Balboa... Mais à 10h, le fier équipage émerge, d'humeur aventurière, prêt (enfin presque) pour filer vers le Portugal.
Il reste juste au capitaine à plonger dans le port (bonheur) pour aller couper le bout de 78087666533 mètres enroulé autour de l'hélice du moteur bâbord. Les oeufs à la coque devront être irréprochables pour lui donner le courage (12°C, c'est bien mais pas top).









Les traversées de Camarinas à Bayona - en passant par Portosin où Pierre et Véro nous ont quittés pour avancer plus vite - ont été plutôt froides, pluvieuses et sur une mer désorganisée. Les quelques rayons de soleil, bien que brefs, ont détourné notre attention assez longtemps pour attraper une bouée au passage et laisser tomber quelques équipements au fond de l'eau.
Hier, nous avons été visiter le Parador Conde do Gondomar. La pluie a attendu que nous soyons enfoncés au fin fond des jardins pour tomber. Mais surgissant de nulle part, un espagnol adorable est venu à notre secours et nous a entraînés de cave en cuisine en salon, pour que nous atterrissions au milieu du hall d'un hôtel magnifique. Très jolie journée. Voir les photos



Armés de Rioja, nous sommes prêts à quitter l'Espagne et à faire cap sur le Portugal.

2 commentaires:

  1. C'est chouette de vous voir !
    Toujours aussi beaux et souriants ces marins, malgré la tempête, la pluie et les courtes nuits !
    Continuez tranquillement cette belle aventure !
    On vous suit !
    Les SR de HK !

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  2. Heureux de vous savoir repartis, mais j'arrive trop tard pour vous demander de saluer Camarinas, le paradis pour Merrien, but de ma première croisière hauturière... en un temps où aucun de vous n'était né !
    Les petites maisons de poupées sont-elles toujours là, au bord de la baie bien fermée ?...
    Bonne route ! et (c'est le Rédacteur du Néricault-Destouches qui parle) merci d'avance du bel article que vous allez m'envoyer pour raconter votre mariage... vous avez jusqu'au 15 mai pour le rédiger. Alors, au travail !
    Je vous embrasse,
    Antoine

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